Parmi eux, une représentante du Parc amazonien, très investie dans la centralisation de la connaissance et la valorisation de cet outil open source qui permet la saisie de données naturalistes en ligne et hors ligne.
Les 26 et 27 juin, plus de 80 personnes de tous horizons se sont réunies à Aix-en-Provence pour faire le point, partager des retours d’expériences, suivre des ateliers techniques et envisager le futur autour du précieux outil GeoNature.
Avec les perspectives qui s’annoncent pour le service Patrimoines naturels et culturels du Parc amazonien d’ouvrir la plateforme à d’autres structures guyanaises, notre technicienne Recherche et développement a pu se joindre à l’organisation de ces rencontres et y prendre une part active.
Sorti du cerveau d’un agent du Parc national des Écrins, il y a presque une quinzaine d’années, GeoNature est bien plus qu’un outil pour saisir les observations de la faune et de la flore. Désormais il exlose ; d’autant depuis la version 2, lancée en 2017.
Et pour cause : gratuit, basé sur des standards qui permettent de partager les données, bien pensé et très évolutif…
Comme il est open-source*, c’est le fruit de collaborations toujours plus nombreuses car chacun peut y apporter sa patte.
Ce sont aujourd’hui plus d’une centaine de personnes qui le font évoluer et plus de 150 plateformes en France. Sans compter les bureaux d’études et même… une ferme !
Découvrez sur ce lien, un article qui revient plus en détail sur le contenu des échanges.
L'ensemble des présentations, leurs vidéos, ainsi que les synthèses des ateliers et les posters sont disponibles sur le site des rencontres GeoNature 2024 (en bas de page).
*Le code informatique du logiciel est partagé avec n’importe qui.
Donc quiconque veut améliorer/développer des choses peut le faire à condition que ça alimente l’outil.